20110305

GERMINAL D'Èmile Zola.

Né en 1840, Emile Zola à été élèvé à Aix en Provence. Malgré les soucis financiers de sa mère il fréquenta les meilleurs écoles : le collège Bourbon et celui de Saint Louis. Il eu pour maîtresse une prostitué nommée Jeanne mais épousa Alexandrine. Il commença alors a travaillé pour les édition Hachette en temps que magasinier puis à l’âge de 24 ans il publia son premier roman intitulé les Contes à Ninon. Sa plus grande cause fut celle des ouvriers qu’il faisait vivre dans l’assomoir puis Germinal, publié en 1885.










Fils de Gervaise Macquart et de son amant Lantier, le jeune Etienne Lantier s'est fait renvoyer de son travail pour avoir donné une gifle à son employeur. Chômeur, il part, en pleine crise industrielle, dans le Nord de la France, à la recherche d’un nouveau emploi. Il se fait embaucher aux mines de Montsou et connaît des conditions de travail effroyables.Il fait la connaissance d'une famille de mineurs, les Maheu et tombe amoureux de la jeune Catherine. Mais celle-ci est la maîtresse d'un ouvrier brutal, Chaval, et bien qu'elle ne soit pas insensible à Etienne, elle a à son égard une attitude étrange.
Etienne s'intègre vite parmi le peuple des mineurs. Il est révolté par l'injustice qu'il découvre et par les conditions de vie des mineurs. Il propage assez rapidement des idées révolutionnaires.
Lorsque la Compagnie des Mines , arguant de la crise économique, décrète une baisse de salaire, il pousse les mineurs à la grève. Il parvient à vaincre leur résignation et à leur faire partager son rêve d'une société plus juste.
Lorsque la grève éclate, la Compagnie des Mines adopte une position très dure et refuse toute négociation. Affamés par des semaines de lutte, le mouvement se durcit. Les grévistes cassent les machines et les installations minières et agressent les bourgeois. Les soldats viennent rétablir l'ordre mais la grève continue. De nombreux mineurs défient les soldats qui tirent sur les manifestants : Maheu, l'ouvrier chez qui Lantier avait pris pension, est tué.
La grève est un échec. Les mineurs se résignent à reprendre le travail. C'est alors que Souvarine, un ouvrier anarchiste , sabote la mine. De nombreux mineurs meurent. Etienne, Catherine et Chaval, son amant, sont bloqués dans la mine. Chaval provoque Etienne qui le tue. Il devient enfin l’amant de Catherine qui meurt dans ses bras avant l'arrivée des sauveteurs. Etienne sort vivant de cet enfer, et part pour Paris.
Même si la révolte a échouée, Etienne est plein d’espoirs dans la lutte que les ouvriers mènent contre les inégalités. Un jour, il en est persuadé , ils vaincront l'injustice....








Depuis plusieurs temps je comptais lire ce livre que j'avais trouvé dans le grenier, un classique que ma mère m'a recommandé, et je ne regrette pas. Suite à ce livre je compte voir l'adaptation cinématogaphique.
Au début j'ai eu du mal à rentrer dans le livre, car Zola va très loin dans les descriptions, mais en fait, c'est grâce à ça que nous avons l'impression de vivre l'histoire. La misère est décrite avec tant de précision qu'on en a les tripes blessées. On voit petit à petit un monde qui meurt dans le travail et la maladie, on voit aussi, le peu d'importance qu'avait la vie humaine autre fois. On sent dans l'écriture de Zola toute l’horreur et la souffrance enduré par les mineurs qui vivaient de presque rien. Il raconte la vie telle que l’on vécu des milliers de personnes lorsqu’elles descendaient dans les souterrains pour gagner une misère qui permettait à peine de nourrir leur famille. Il raconte les souffrances que procurait l’inhalation du charbon qui brûlait presque leurs poumons. Et rien n'est inventé. J'ai pris consciense de l'horreur qu'était la mine, du calvaire que vivaient les mineurs. De plus je suis d'autant plus touchée quand je me dis que, par exemple, le frère aîné de ma grand-mère était à la mine.
Ce livre est donc très émouvant, et j'ai trouvé les personnages attachants. Il fallait vraiment que je le lise, en plus il parle du Nord, des corons.. de notre region.

BLACK SWAN

Black Swan est un thriller américain réalisé par Darren Aronofsky avec Natalie Portman, Mila Kunis, Winona Ryder et Vincent Cassel.
J'ai vu ce film en anglais, lors de mon séjour chez ma correspondante en Angleterre, en janvier.

Nina est ballerine au sein du très prestigieux New York City Ballet. Sa vie, comme celle de toutes ses danseuses, est entièrement vouée à la danse. Lorsque Thomas, le directeur artistique de la troupe, décide de remplacer la danseuse étoile Beth Mcintyre pour leur nouveau spectacle, « Le Lac des cygnes », son choix s’oriente vers Nina. Mais une nouvelle arrivante, Lily, l’impressionne également beaucoup. « Le Lac des cygnes » exige une danseuse capable de jouer le Cygne blanc dans toute son innocence et sa grâce, et le Cygne noir, qui symbolise la ruse et la sensualité. Nina est parfaite pour danser le Cygne blanc, Lily pour le Cygne noir. Alors que la rivalité de Nina et Lily se mue peu à peu en une amitié perverse, Nina découvre, de plus en plus fascinée, son côté sombre. Mais s’y abandonner pourrait bien la détruire…

Ce film m'a retourné, c'est un film hors du commun, marquant, il est très original, étrange et spécial, il met plus d'une fois le specateur mal à l'aise dans cette ambuance dépréssive et schizophrène. Mais je compte le revoir en Français. La musique, la danse et bien sûr le jeu des acteurs donnent naissance à un véritable chef d'oeuvre. Natalie Portman incarne son rôle à la perfection, elle est totalement changée physiquement (amaigrie comme toute danseuse de ballet), et au cours du film, on la voit partir dans un délire, on voit la perte totale de repères de l'héroïne, et grâce à la façon dont ce chef d'oeuvre est filmé, le specateur est désorienté. On a le droit à un final qu'on peut qualifier de grandiose, d'explosif entre l'héroïne et la folie créatrice de Darren Aronofsky, l'auteur. Ce film sort donc  totalement de l'ordinaire, il est boulversant, mais j'ai beaucoup aimé, malgré les scènes "déplacées".

20110223

IMPERIAL WAR MUSEUM DE LONDRES.

Parmi les musées que nous avons pu visiter, il y avait aussi l'imperial War Museum ( Musée Impérial de la Guerre ) c'est en fait le nom d'un organisme national de musées militaires britanniques, crée en 1917, il est composé de cinq cites, dont trois à Londres, et l'imperial war museum London est le plus visité d'entre eux.
Celui-ci traite de la Première Guerre mondiale, mais aussi de la Seconde Guerre mondiale.

Dans ce musée, les pièces sont étendues, joliment présentées et bien documentées. Il est aussi bien fait pour les jeunes que pour les plus vieux, à toutes âges on l'apprécie, il y a quelques interactivité pour les enfants et une partie des enfants durant la guerre.
Nous avons donc pu voir beaucoup d'armes qui ont servi pendant les deux Guerres mondiales. Aussi, dans le hall, étaient suspendus des avions, il y avait aussi des chars, des sous-marins,  c'était donc assez impressionants de les voir d'aussi près, et cela permet de voir tous les détails qu'on souhaite.

Ensuite, en bas il y avait des galleries, dans lesquelles se trouvaient, non seulement des uniformes, des armes mais toutes les choses concernant les militaires et l'histoire du Royaume-Uni.


Dans l'ensemble j'ai aimé ce musée, c'est une approche différente des Guerres Mondiales que celle que l'on peut avoir en classe. Ce musée est très complet, on peut tout savoir sur ces Guerres Mondiales, qui sont très importantes dans l'histoire. Même pour ceux qui n'aiment pas l'histoire, ce musée fait tout pour qu'on trouve ça intéressant, il n'y a pas qu'un type de support, il y a de tout, des vidéos, des témoignages, de l'audio, des tanks, des chars...
Je suis donc contente d'y avoir été.

The TATE.

Cette année, Anne-Sophie et moi avons eu la chance d'avoir une corespondante anglaise, de la reçevoir chez nous, et donc à notre tour, d'aller chez elle.
Lors de ce voyage, nous avons pu visiter diffèrents musées, comme le TATE. Celui-ci est un musée très populaire, qui connait un grand succès, c'est sans doute l'une des attractions les plus populaires de Londres. Le Tate Modern est la première galerie britannique d'art moderne. Cette galerie se situe dans une ancienne centrale électrique, ce que j'ai aimé, car ce n'est pas commun à tous les musées, de plus il est juste à côté de la Tamise, donc dans un joli cadre. Ce musée rassemble de l'art moderne international de 1900 à nos jours. Nous avons donc pu voir du Picasso, du Andy Warhol...














J'ai, comme toujours, apprécié les oeuvres d'Andy Warhol, qui pour moi est un très bon artiste. Ses oeuvres sont toujours aussi colorés les unes que les autres, toujours aussi surprenantes et remarquantes, comme celles ci-contre.





Je me souviens aussi, d'une pièce, où se trouvait des tableaux, tous épurés, clairs, quand nous étions rentrés dans cette pièce, il y avait une certaine sérénité. Pour rire, nous avons d'ailleurs fait une petite position de yoga, il n'y avait bien entendu personne d'autre dans la pièce, mais c'était juste parce qu'on se sentait vraiment bien. Malheureusement je ne me souviens plus du nom du peintre des diverses tableaux que cette pièce avait.





Nous avons vu aussi quelques expositions auxquelles je ne trouvais pas vraiment d'intérêts, et je ne voyais pas où l'art moderne était. Par exemple, il y avait une pièce, avec plein d'outils de travaux, de la peinture, des plaques, des taules, des pneux etc. Aussi, il y avait un tas énorme de vêtement empilés, à côté d'une statue, certes, c'était bien fait, mais je ne vois pas trop l'intérêt, peut-être que l'artiste veut faire passer par là, que quand nous sommes désordonnés, ça développe un esprit artistique. 




Ensuite, j'avais aimé les oeuvres de Bridget Riley, qui est une artiste-peintre britannique, d'origine Anglaise. Ses oeuvres sont basées sur les formes géometriques et les effets d'optiques. Ci-contre, nous pouvons voir l'une d'entre elles, intitulée To a summer's day, réalisée en 1980, et même à travers une photo, on peut avoir cet effet d'optique. Je pense que peindre une oeuvre et réussir à produire un effet d'optique ne doit pas être évident.







Je comprends donc pourquoi ce musée et si populaire, et je suis contente d'avoir eu l'occasion d'y aller.

20110109

La chambre des officiers de Marc Dugain.

Ce livre est publié en 1998, il a reçu Prix des libraires et le Prix des Deux Magots.
Ce roman est inspiré directement de l'histoire familiale de Marc Dugain. Le grand-père maternel de l'auteur a été sa principale source d'inspiration : c'était une Gueule cassée.



En 1914, Adrien Fournier, ingénieur spécialisé dans les chemins de fer, est affecté au génie pour la guerre. La veille de son départ, il rencontre Clémence, une jeune femme venue accompagner son ami pianiste à son train pour partir à la guerre. Adrien invite Clémence à venir chez lui, elle y passe la nuit. Le lendemain, Adrien part à la guerre, laissant Clémence seule dans son appartement. Lors des 1ers jours de la guerre, Adrien part avec deux autres soldats faire une reconnaissance au bord de la Meuse pour un projet de construire un pont sur la Meuse afin d'y faire passer les soldats. Lors de la reconnaissance, ils se font attaquer, les deux soldats meurent et Adrien reçoit un éclat d’obus au visage. Il se réveille dans un hôpital de Paris, où on l'emmène dans un service spécial pour les officiers. Il a perdu ses dents, son palais, ses lèvres et l’odorat. Il ne peut manger que par un tube qu’on lui met dans la bouche. Il y restera cinq ans, il rencontre deux personnes : Penanster et Weil ; ils deviennent des amis très proches. Ils font la connaissance de Marguerite, une infirmière qui a été défigurée elle aussi par un éclat d’obus. Tous les quatre, ils créent une association pour aider les blessés de guerre. Adrien reçoit de multiples greffes de lèvre et palais. Au bout des cinq ans, il n’a toujours pas retrouvé son visage et même plus tard dans le roman, quand les progrès de la médecine lui permettraient d'améliorer son visage, il refuse car il en a assez des opérations. Adrien et ses amis assisteront au traité de Versailles et à plusieurs autres cérémonies. Ils reçoivent tous les trois la Légion d’honneur. A leur sortie de l’hôpital, Adrien retrouve Clémence dans un théâtre, il la suit pour voir où elle habite. Il hésite à lui parler, mais le fait quand même, car pendant ces cinq années, il n'a pas céssé de penser à elle.




J'ai trouvé ce livre émouvant, on a une toute autre vision de la guerre que celle des tranchées, la guerre prend ainsi une toute autre dimension. On voit l'horreur des "gueules cassées", on rentre dans la peau d'Adrien, et comme lui on se demande comment arriver à vivre avec ce visage... Comment affronter le regard des autres.
On prend peu à peu conscience de ce que peut être une vie avec la moitié d'un visage, et on se prend à envisager sa propre figure sans machoire, sans nez, ou alors brûlée... Ce livre est original, car il est rare qu'on parle de ce côté ci de la guerre.
Quand est jeune et qu’on n'a connu aucune guerre, il est parfois difficile de s’imaginer toutes les atrocités qu'elle engendre. Après ce roman, une chose est sûre, c’est que jamais je ne voudrai avoir affaire à elle.

Sept vies.


Sept Vies (Seven Pounds) est un film américain réalisé par Gabriele Muccino en 2008, qui est sorti le 14 janvier 2009 en France.

C'est l'histoire d'un homme, Tim Thomas, diplômé du Massachusetts Institute of Technology et ingénieur dans l'aérospatiale. Cet homme est marié, riche, et vit dans une grande maison au bord de la mer lorsqu'un soir sa vie bascule. Alors qu'il est au volant de sa voiture avec sa femme, Tim reçoit un SMS venant de son travail et regarde son portable. Ce moment d'inattention est suffisant pour entraîner un accident avec un autre véhicule. Cet accident est mortel pour sa compagne ainsi que pour six autres personnes se trouvant dans l'autre véhicule. Tim Thomas cherche alors la rédemption en transformant la vie de sept personnes qu'il ne connaît pas en prenant l'identité de son frère Ben Thomas.
C'est avec l'aide d'un ami, qui s'occupe de toute la partie administrative, qu'il met son plan à exécution. Il s'occupe d'une femme battue par son petit ami qu'il aide à fuir avec ses 2 enfants. Il les installe dans son ancienne maison dont il leur fera don après sa mort. Il donne la partie droite de son foie à une autre femme, un rein à un entraineur de hockey sur glace, ses yeux à un aveugle. Il est également donneur de moelle osseuse pour un jeune enfant et d'un de ses poumons à son frère atteint d'un cancer. Enfin, il donne son cœur à Emily dont il est tombé amoureux.



J'ai beaucoup aimé ce film, très émouvant, très touchant, plein d'émotions. Comme à son habitude, Will smith joue son rôle à la perfection. C'est un personnage très attachant qui arrive facilement à nous communiquer ses sentiments. L'envie à Will smith de se racheter ainsi que sa générosité nous montre une belle leçon de vie. L'histoire est tout simplement splendide, elle rappelle que l'homme peut avoir de belles qualités telles que la générosité et la bonté mais que c'est souvent de grandes souffrances qui les révèlent, c'est après la mort de 7personnes dans un accident, causé par lui, qu'il veut sauver la vie de 7 personnes pour se racheter, en plus de ça il y a une belle histoire d'amour avec l'une d'entre elles.

20110107

Musée de Mme Tussaud, à Londres.

Ce musée de cire situé à Londres, a été fondé en 1835 par Marie Tussaud.
Il existe des musées Madame Tussauds aussi à Berlin, Amsterdam, Hong Kong, Las Vegas, Shanghai, New York, Bangkok et Washington, D.C..


Il fait partie des deux musée de cire les plus célèbres, accompagné du musée Grévin à Paris.
Un musée de cire expose des statues en cire représentant des personnes célèbres, qu'elles soient contemporaines, historiques, ou imaginaires, éventuellement dans des reconstitutions de scènes mémorables dont elles ont été les protagonistes.

J'y suis déjà allée il y a un certain moment, quelques années, quand j'étais partie en voyage linguistique, et je me souviens avoir beaucoup apprécié cette sortie, j'ai trouvé ça amusant de voir des personnes célèbres en cire, c'est tellement bien fait, on croyait vraiment avoir les personnes devant nous.

Le secret de Charlie

Le Secret de Charlie ou Charlie St.Cloud au Québec est un film américano-canadien de Burr Steers sorti en 2010.
Après la mort de son frère Sam,Charlie n' arrive pas a faire son deuil. Comme il se sent coupable de sa mort il le voit et fait une promesse, tous les jours au couché du soleil ils doivent se retrouver à l'endroit où ils regardaient les bateaux. À cause de cette promesse, Charlie ne part pas à l'université et devient gardien d'un cimetière. Mais sa vie monotone devient encore un peu plus compliquée quand Tess, une ancienne camarade de voile, entre dans sa vie, mais celle-ci a en fait disparue en mer et Charlie se demande s’il s’agit aussi d’une apparition ou si elle est bien réelle



J'ai aimé ce film car il montre l'amour que peuvent avoir deux frères, ici, Charlie rennonce à tout, y compris ses amis, sa famille, l'université dans laquelle il avait été pris, pour pouvoir rester près de son frère, et pour "le voir" ou plutôt son apparition chaque jour, au coucher du soleil. Il montre aussi à quel point le deuil d'un proche peut-être dur à faire, Charlie n'a toujours pas réussi au bout de 5 ans à faire le deuil de son petit frère, il est toujours traumatisé. Et en plus de ça il y a Tess, dont il tombe amoureux, et dont on ne sait pas si elle est bien réelle ou si c'est une apparition aussi...
Ce film est donc plein de surprises, et de retournement de situation que j'ai apprécié.
Aussi  j'ai aimé la musique qui été toujours adaptée, les prises de vues superbes, et les couleurs chaleureuses et le scénario où une réflexion sur différents sujets tels que la mort, l’amour, la liberté, la tristesse est subtilement abordée.

20101110

Paris

La tour Eiffel a construite par Gustave Eiffel et ses collaborateurs pour l'Eposition universelle de Paris en 1889.
D'une hauteur de 313,2 mètres à l'origine, la tour Eiffel est restée le monument le plus élevé du monde pendant 41 ans. Sa hauteur a été plusieurs fois augmentée par l'installation de nombreuses antennes, pour culminer à 324 m et 325 m depuis le 17 janvier 2005 avec l'émetteur TNT.
C'est le premier monument payant visité au monde avec plus de 6 millions de visiteurs par an, c'est pourquuoi, à plusieurs reprises, je suis montée en haut de la Tour Eiffel, pour admirer la vue, malgré l'attente qui est souvent longue, et le monde qui peut y avoir, le détour en vaut la peine, j'apprécie toujours autant cette belle vue que l'on peut avoir de paris, du Champ-de-Mars, de toutes les belles rues et les belles constructions de Paris... C'est un symbole de la France, et tous les étrangers veulent y aller, par exemple j'ai eu une correspondante Anglais en Octobre, et elle ne voulait pas partir sans avoir vu la Tour Eiffel.





Je trouve vraiment cette cathédrale très belle, et j'aime beaucoup toute son architecture.

Notre-Dame de Paris n’est pas la plus vaste des cathédrales françaises, mais elle est l’une des plus remarquables qu’ait produites l’architecture gothique en France et en Europe. Elle fut lors de son achèvement la plus grande cathédrale d’occident. Ce chef-d’œuvre, l’un des symboles les plus connus de la capitale française, est situé dans le quatrième arrondissement de Paris. Sa façade occidentale domine le parvis Notre-Dame - place Jean-Paul II.



Aussi cette cathédrale; (ainsi que cette chimère) me fait beaucoup pensé au " Bossu de Notre-Dame " que j'adorais regarder étant petite. Ces chimères sont des statues fantastiques et diaboliques et souvent grotesques. Elles n’ont qu’un effet décoratif. On les retrouve au haut de l’édifice au sommet de la façade, au niveau de la balustrade couronnant la galerie supérieure qui relie les deux tours et qui se prolonge sur les quatre faces de celles-ci. Tous les angles de cette balustrade servent de support ou de perchoir à des démons, des monstres et des oiseaux fantastiques. Ces éléments n’existaient pas au Moyen Âge et sont des ajouts incorporés par l’architecte Eugène Viollet-le-Duc.








Empire State Building

Quand je suis allée à New York à Pâques avec ma famille, je suis montée tout en haut de l'Empire State Building, pour voir cette vue imprenable de New York. L'Empire State Building a été inauguré en 1931. Il est situé dans la 5e avenue, il mesure 381 mètres (443,2 avec l’antenne) et compte 102 étages. Il est actuellement le plus grand immeuble de la ville de New York (suite à l'attentat terroriste du 11 septembre 2001 qui a causé la destruction des tours jumelles du  World Trade Center qui étaient en première position) et le troisième du continent américain.
L'empire State Building est beaucoup mise en scène, dans de nombreux films comme par exemple dans King Kong, mais aussi dans de nombreuses séries, Gossip Girl par exemple.
Moi qui suis une grande fan de New York, j'ai beaucoup apprécié cette vue incroyable qu'on avait du haut de l'Empire State Building. De plus c'était le matin très tôt, car avec le décalade horaire nous nous levions très tôt, donc il n'y avait pas encore trop de monde, c'était d'autant plus agréable, par contre il y avait un vent terrible. Je pouvais voir la statue de la liberté, ou encore le pont de Brooklyn, central park... Puisque c'était le premier jour de mon arrivée, je découvrais tout d'un coup, c'était impressionant...










Ensuite, j'ai été plusieurs fois à Central Park. Ma famille et moi avions loué des vélos, j'y ai été aussi pour faire un footing, et aussi pour se balader à pieds C'était très agréable, de la végétation, parmis la grande ville qu'est New York. La superficie de Central Park est de 341 hectares. Il y avait beaucoup de personnes qui couraient, des écureils qui se baladaient tout près de nous, très peu craintifs, du côté de central park la nature, les écureuils, les coins d'eau... et puis de l'autre côté sur les routes d'en face, les magazins, les buildings... Un contraste qui me plaisait assez.







 

Puis nous avons été voir la statue de la liberté. La statue de la liberté a été offerte par la France aux américains en 1886, en gage de l'amitié franco-américaine et pour le centenaire de l'indépendance du pays. En plus d'être un monument important, elle est un peu le symbole des Etats-Unis. Elle représente la liberté et l'indépendance. Quand je suis arrivée devant, ça m'a fait tout drôle car je l'avais toujours vu à la télé ou sur des magazines, ou en porte-clé, ce qui est donc assez impressionant... mais c'est vraiment une très belle statue.

Je l'aimais, d'Anna Gavalda

Anna Gavalda est une femme de lettres française, née le 9 décembre 1970.
En 1992, elle devient lauréate du prix du Livre Inter pour La plus belle lettre d’amour. Professeur de français au collège Nazareth à Voisenon (Seine-et-Marne), elle obtient en 2000 le Grand Prix RTL-Lire pour son premier recueil de nouvelles Je voudrais que quelqu'un m'attende quelque part publié par Le Dilettante.
 Aussi, trois de ses livres sont devenus des best-sellers dont Je l'aimais vendu à 1 259 000 exemplaires, et Je voudrais que quelqu'un m'attende quelque part  ainsi qu'ensemble, c'est tout.



Chloé ne se remet pas du départ de son mari, Adrien. Elle se retrouve seule et déséspérée avec ses deux filles, elle n'arrive pas à affronter la réalité. Alors, elle va chercher du réconfort chez ses ex-beaux-parents.
Pierre, le père d'Adrien, décide de les emmener dans une maison de campagne. Il est aux petits soins pour Chloé ainsi que pour ses deux petites filles. Et derrière son image autoritaire et froid, se cache un homme très sensible, et pas du tout comm il le laisse paraître, il va se livrer à Chloé comme il ne l'avait jamais fait auparavant, on en vient à se demander qui est la béquille de l'autre.

J'ai beaucoup aimé ce livre, il se lit très facilement, il est reposant et fait réfléchir, il est réaliste. J'ai aimé Le fait que Chloé puisse compter sur Pierre, son beau père malgré la rupture avec son fils Adrien. Pierre dégage une image froide alors qu'en fait il est très sensible car lui, contrairement à son fils n'a pas eu le courage de quitter sa famille et ses enfants pour la femme qu'il aimait réellement. J'ai apprécié les dialogues tout au long du livre de Chloé et Pierre sous forme de confidences, parfois touchantes, mais jamais ennuyantes...
Ce livre est aussi surprenant car on pourrait croire que pendant ces quelques jours passés dans cette maison pour réconforter Chloé, elle n'aurait cessé de se lamenter, alors qu'en réalité il s'agira aussi de la confession de son beau père sur sa propre vie.

- La vie est belle

La vie est belle (La vita è bella) est un film italien de Roberto Benigni sorti en 1997.  Ce film a reçu trois Oscars (acteur principal, film étranger et musique), un César du film étranger, un Grand prix du jury à Cannes, un prix du public aux festivals de Montréal, Toronto et Vancouver, ainsi que neuf  Donatello aux Oscars italiens. En effet ce film est un chef d'oeuvre.

 

L'histoire se passe en pleine Seconde Guerre Mondiale.
Guido, (Roberto Benigni) est un jeune homme travaillant dans un Grand Hôtel comme serveur, là-bas il tombe amoureux de Dora. Dora est censé épouser un homme riche et puissant, qu'elle n'aime pas, mais Guido fait tout pour se faire remarquer par celle-ci. Il finit par réussir à l'enchanter. Cinq ans plus tard, Guido et Dora ont eu un fils : Giosuè. Mais les lois raciales sont entrées en vigueur en Italie. Or, Guido est juif. Un jour, Dora rentre à la maison et ne trouve ni son fils, ni son mari. Ils ont été déportés. Par amour pour eux, Dora monte de son plein gré dans le train qui les emmène. A l'intérieur du camp de concentration, Guido fait tout en son pouvoir pour éviter à son fils la réalité horrifiante de la prison nazie, et fait croire à son fils, que ce n'est qu'un jeu pour gagner un char d'assaut.

image de La Vie est belle La première fois que j'ai vu ce film, j'étais plus jeune, et il a m'avait marqué, je l'ai regardé une seconde fois il y a quelques temps et je l'ai beaucoup apprécié. Tout d'abord, il reflète l'amour des parents pour leur enfant, Dora se sacrifie en quelques sortes, car elle sait très bien qu'elle ne pourrait vivre sans son fils et son mari. Guido invente tout et n'importe quoi pour ne pas confronter son fils aux horreurs de la guerre, pour cacher la réalité horrifiante de la guerre et des nazies. Ensuite il montre bien cette terible période qu'est la Seconde Guerre Mondiale, ces terribles actes que commètent les nazies, la façon dont ils traitaient les juifs, les travaux forcés, la façon dont ils étaient nourris...
Ce film est donc un très bon film, et je n'hésiterais pas à le regarder quand j'en aurais l'occasion.

- The museum of Modern Art




Le Museum of Modern Art (ou MoMa) est un musée d'art moderne et contemporain. Il a ouvert ses portes en Novembre 1929, il se situe entre la 5e et la 6e avenue de New york, sa surface d'exposition est d'environ 11 600 m². La collection du MoMA est riche de nombreuses productions artistiques modernes et contemporaines dans des domaines aussi divers que la peinture,la sculpture, le dessin, mais aussi la photographie, le design, la vidéo et le film.

MoMa est un musée très célèbre, et je savais que si j'allais à New York, je n'hésiterais pas à y aller. C'est pourquoi en avril, lorsque j'ai été à New York, j'ai été visité ce musée. Je suis arrivée un peu avant l'heure d'ouverture mais il y avait déjà beaucoup de monde, en effet le musée accueille plus de 7000 visiteurs par jour.
J'ai eu de la chance de m'y rendre à cette période-ci car il y avait une exposition de Tim Burton, réalisateur, scénariste et producteur américain. J'ai beaucoup aimé son exposition car elle relevait de l'imaginaire, tout comme ses films et histoires. Malgré mon âge, j'apprécie toujours autant Charlie et la chocolaterie, ou encore l'étrange Noël de monsieur Jack, ou Batman... C'est pourquoi j'ai directement été plongée dans cette exposition, et dans l'univers de Tim Burton. Tous les décors étaient plus fantastiques les uns que les autres, l'exposition comprenait ses carnets de croquis, ses dessins ("story board"), ses peintures, ses photographies, ses livres... Grâce à ça, j'ai découvert que Tim Burton avait absolument tout conçu pour chacun de ses films, à savoir, par exemple, le costume d'Edouard aux mains d'argent, les figurines de l'étrange Noël de Monsieur Jack, ou encore les dessins des personnages de Batman.
Donc une très belle exposition, qui reflétait bien les films & histoires de Tim Burton.

 Ensuite, dans la plate-forme de MoMa, Marina Abramovic, une artiste, qui fait partie du courant artistique de l'Art corporel, était assise sur une chaise, en face d'une autre personne, elle-même assise sur une chaise, une table les séparait, elles se regardaient sans bouger, paraît-il que Marina Abramovic restait huit heures par jour durant la période de son expostion personelle au musée. Je trouve ça assez incroyable, mais je dois dire que je n'en vois pas trop l'intérêt... D'ailleurs, je n'ai pas aimé son exposition, qui était dans le même esprit mais les personnes étaient nues, ce qui est assez surprenant, je ne m'y attendais pas, et je trouve ça assez choquant car il y avait des enfants. Son exposition se situait eu dernière étage, et heureusement. J'ai donc été déçue par cette partie du musée.

Mis à part ça, j'ai vu de très beaux tableaux, de Picasso par exemple, ou encore d'Andy Warhol, un artiste que j'apprécie beaucoup. Ainsi que de très belles oeuvres, comme un hélicoptère miniature, mais quand même grand suspendu au plafond, très bien fait, ou encore un espèce de camion, fait avec du tissus, il était très coloré,  il y avait aussi une grande maquette de New York, très bien réalisée. J'ai vu aussi de très belles photos, de Marilyne Monroe, ou de Brigitte Bardot par exemple.
Dans l'ensemble j'ai donc apprécié ce musée, et je ne regrette pas d'y être aller.